c'est sur la route que nous avons vus des dépiqueurs et égraineurs de riz, ils étaient deux battant les gerbes sur une planche et faisant ainsi tomber les grains dans une bâche disposée en dessous
et aussi l'extraordinaire "charrue à riz", ce n'est pas la seule que nous ayons vue mais il n'y en a pas beaucoup: il se confirme que la culture du riz est essentiellement manuelle.
Omniprésente dans le paysage, la culture du riz, qui occupe vraiment toutes les parcelles si petites soient elles que l'on peu aplanir et irriguer, l'est aussi par le nombre de gens au travail que l'on voit dans les rizières sous leurs chapeux coniques. Et ce qui est fascinant c'est que dans un pays surpeuplé, un peu anarchique, dont la propreté n'est pas la qualité première il y a une chose parfaitement ordonnée, entretenue, soignée, ce sont les rizières, ce sont les gerbes et les tas de gerbes de riz, ce sont les canaux qui amènent l'eau dans la rizière.
Commentaires
Je suis navré de n'avoir pu me connecter sur votre blog qu'aujourd'hui : j'avais voulu reproduire votre adresse alors qu'il suffisait de cliquer sur celle figurant dans votre message ! Ce que vous dîtes du soin apporté à l'entretien des rizières m'intéressé beaucoup. C'est sûrement le signe que l'agriculture est considérée dans ce pays comme ube activité importante, ce qu'elle est puisqu'elle est vitale ! En France, longtemps il n'en a pas été ainsi pour des raisons sur lesquelles des travaux ont été faits mais qui, à mon avis,doivent encore être approfondies; Voilà des sujets de conversations.