En Asie

nous ne savons pas vraiment ce que faisaient les mille ou deux mille personnes un beau matin sur la plage, la plupart habillées de blanc, beaucoup portant une ombrelle blanche à franges, beaucoup d'autres portant des offrandes

On le a vus se déplacer faire comme une ronde enfantine, puis ils se sont assis par terre, et là des prêtres, comme le vieux malicieux dont je poste une photo, bénissaient la foule à coups de petits balais d'eau bénite.

nous sommes allés déjeuner à quelques kilomètres au dessus et là nous les avons vu remonter, ils étaient tous du même village, venus par tous les moyens, autobus, camions, motocyclettes et la fête finie ils rentraient chez eux. Nous ne savons pas ce que sont devenues les offrandes, très nombreuses et volumineuses, les ont ils laissés sur la plage?

ce sont de beaux outils encore d'usage courant.

L'art de creuser un tronc d'arbre à l'herminette pour en faire une pirogue n'est pas mort.

Les gens photographiés sont des villageois de Tenganan qui dressent les poutres d'une future maison.

Une activité très répandue nous laisse songeur: il n'y a pas de prés, ici, comme en Normandie,

mais il y a des quantités de gens qui ramassent toute l'herbe qu'ils peuvent le long des routes et chemins, dans les fossés et en remplissent de grands sacs comme des sacs de pommes de terre

ou bien garnissent une hotte spéciale double qu'ils portent à l'épaule.

cela ne va pas vite car visiblement cette herbe a beaucoup d'amateurs et est ramassée souvent, si bien que les gens que l'on voit

coupent à la faucille ou à la cisaille une herbe plutôt rase.

nous nous demandons si cela n'est pas une activité à plein temps,

la vache mangeant l'herbe aussi vite qu'on la ramasse,

mais nous manquons un peu de données sur la quantité d'herbe nécessaire pour nourrir une vache ordinaire, ou sacrée.

il tient une échoppe dans le village de Tenganan

il connait le sanscrit et sait écrire le balinais en caractères sanscrits, avec lequel on l'écrivait il y a encore cinquante ans et on l'écris toujours en ceraines occasions; C'est en sanscrit qu'est écrit le mesage de bienvenue garvé sur le linteau de la porte donnant sur la rue

il nous a donné un petit récital de xylophone que je poste dans cet article comme une vidéo de 1,20 minutes

le fait qu'il soit un "lettré" est reconnaissble à l'ongle de son pouce, jamais coupé et qui doit bien faire six ou sept cm de long.

nous retrouvons tout le charme des temples chinois dès notre arrivée à Kunming

ce n'est qu'un petit temple perdu dans un grand parc public et il ne mérite pas beaucoup d'étoiles. Mais nous sommes toujours ravis

par l'arbre difforme qui a trois cent ans, l'air mort mais qui fleurit tous les ans au printems

par le fenêtre ronde ouverte sur la forêt

par le petit pavillon de bronze dans son cadre de végétation (en fait ce qui est en photo est une copie en bois peint, l'original est à Pékin)

par un simple rayon de soleil sur une peyite porte qui met en valeur la couleur des feuilles d'automne

nous sommes en plain pays BaÎ à Dali, beaucoup de femmes portent dans la rue, pour vaquer à leurs occupation? le chapeau traditionnel qui est plutôt un diadème, il ne recouvre pas le sommet du crane.

Il y a une majorité de baîs dans le district de DALI qui comprend trois millions trois cent mille habitants et forme une préfecture autonome à près de 2000 m d'altitude.

Souvent vêtus de blanc les Baïs peignent aussi leurs maisons en blanc

DALI EST LE PAYS DU MARBRE ET TOUS LES CHINOIS ADORENT LES MORCEAUX DE MARBRE DONT LES VEINES DESSINENT UN PAYSAGE DE MONTAGNE